Si j'étais un humain pour...
La résistance, je serai un enfant porteur d'espoir. Une petite lumière à chérir et à protéger.
Je vaudrais à moi seul le sacrifice de plusieurs armées et de civils engagés car mon rôle serait de protéger tout les cadets de la patrie et de le faire goûter à la saveur aigre douce de la liberté. Mon bras armé abattrait sa sentence sur les hautes sphères du pouvoir et sur leurs pantins désarticulés. Je seraient l'ennemi des orcs sanguinaires, le pourfendeur des vils gobelins et le bourreau de tout les collaborateur. Je serai un être écrabouiller, embrigadé, ma renaissance se ferait par la chute de nos tyrans et mon être sera écartelé entre le besoin de liberté et celui de la vengeance qui paraît tellement juste au vu de toute nos vie sacrifié, de tout nos fils et nos filles assassiné.
Pour tout ce que je représenterai, on me pardonnerai le fait que je ne puisse porter une lame sans déraper, que je n'arrive à courir plus de 10 minutes sans demander grâce ainsi que le fait que mes flèches ne touchent jamais cible car on songerai à mes lacunes comme des maladresses de chérubin. Mon incompétence serait même anecdotique quand j'aurai triompher du despote. Après un apprentissage conséquent, je deviendrais plus fort qu'une armée d'archer elfes, que les draconniers et les bêtes enchaînées à leurs volonté et même plus fort que les plus grands mages que la terre n'eu jamais accueilli en son sein.
Si j'étais un humain pour la résistance, je ne serai pas une personne, mais bien la voix du peuple ! Louison sera mon allier pour faire entendre raison aux faibles d'esprit et pour châtier les soutiens de l'illégitime roi.
Et quand notre bataille serait achevé, l'autocratie actuel laisserait place à un régime où, nous, humains gouverneraient avec un pouvoir absolu et sans aucune contre mesure possible.
Si j'étais un humain pour la résistance, je serais leur plus grand espoir et leur plus grand ennemi.